jeudi 26 mai 2016

1ère sélection pour Le garçon qui parlait avec les mains !

 

Notre roman (Alice Jeunesse, illustré par Gwenaëlle Doumont) vient d’être sélectionné au Prix de la ville du Touquet Paris-Plage. Les classes touquettoises de CM1 et CM2 le liront donc et s’ils lui décernent le titre de « livre préféré », avec Gwenaëlle, nous irons à leur rencontre mi novembre.

Forcément, nous, on dit « YOUPI ! »
Et on redit encore une fois « YOUPI ! », quand on lit tous les avis enthousiastes que notre roman récolte. Regardez !

Ricochet :  
« C’est un joli roman que signe ici Sandrine Beau. L’auteure réussit en effet à transmettre à son jeune lectorat, de manière faussement légère, un message pourtant fort, celui de l’acceptation de la différence ! En concentrant son intrigue autour d’une belle amitié entre les deux jeunes protagonistes de cette histoire, elle traite en périphérie de multiples thématiques auxquelles sont confrontées adultes et enfants aujourd’hui en rapport avec l’accueil et l’insertion d’enfants « différents » (adjectif que l’on préfère à celui d’ « handicapés » si stigmatisant) dans le système éducatif. Les illustrations de Gwenaëlle Doumont apportent fraîcheur et humour à ce texte qui provoquera réflexion et sera source de débats entre adultes et enfants. »


Vivre Livre :
« Ce roman illustré aborde un thème peu courant (enfin il me semble) et il m’a beaucoup touchée. Sandrine Beau nous livre ici un texte sensible sur la surdité, ses conséquences sociales et la dureté du monde à l’encontre de la différence. Pour autant, le récit est empreint d’humour et de clins d’œil, et les passages difficiles s’alternent avec ceux, de la vie de famille de Victoria. J’ai beaucoup apprécié cette lecture, ses détails (dont l’allusion à Malaga, ville d’Andalousie, que j’affectionne et que je vous ai présentée ICI), et bien sûr, la manière dont les deux enfants parviennent à faire comprendre aux réticents la richesse de la différence. »


Maman Baobab :
« Un roman pétillant qui ouvre le débat autour de la mixité à l'école, illustré par la joyeuse patte tendre de Gwenaëlle Doumont qui croque avec malice comme des bribes d'instantanés. »


Babelio :
« J'ai beaucoup aimé ce roman jeunesse qui permet d'aborder le thème du handicap, de la tolérance, du respect et de l'intégration scolaire. Un très chouette roman à lire dès 8 ans ! »



Livretvous :  
« Une très belle histoire de rencontre, de tolérance. Victoria et Manolo vont se lier d'amitié et partager plein de chose sans avoir à parler. Alors que Manolo est injustement accusé de gêner l'apprentissage de ses camarades de classes par les parents d'élèves, nos deux amis ne se laissent pas faire. C'est donc aussi une lutte contre l'injustice due à de l'incompréhension et de l'ignorance. Un roman très court parsemé de petites illustrations douces. Un très bon moment de lecture. A partager avec le plus grand nombre. »


Les libraires.fr :  
« Un beau texte qui parle à la fois de multiculturalité et de handicap. Une pétition pour sauvegarder le niveau de l’enseignement, ça pourrait être caricatural, mais ça ne l’est malheureusement pas. Et, dans ce récit – et c’est souvent le cas dans la vie aussi – c’est les enfants qui feront preuve le plus rapidement de tolérance et d’ouverture d’esprit. »

 Dans la Sélection jeunesse de la Médiathèque du Nord :  
« Un sujet délicat abordé avec tact. Pour les 8-10 ans. » 

 Croqulivre :
« Un joli roman illustré sur le handicap, la différence et l'amitié. »


 
Vive Manolo ! Vive Victoria ! Et vive leurs lecteurs ! 


4 commentaires:

T'en dis quoi, toi ?